Les Microbes de Dieu
34,50 €
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Langue : Français
Broché: 524 pages
Poids : 662 g
Dimensions : 15.2 x 2.9 x 24 cm
C’est un roman atypique et politiquement incorrect. Il raconte l’ histoire d une photographe de guerre qui pète les plombs – une horreur de trop et va être admise dans un hôpital psychiatrique pour cause de stress post-traumatique. Là, elle va faire deux rencontres essentielles qui vont orienter sa vie, l’une inscrite dans la réalité grâce au psychiatre qui la suit, l’autre avec un personnage intemporel qui va la guider dans le voyage extérieur (qui la conduira de Barcelone en Inde, puis en Turquie) et intérieur qu’elle va entreprendre, afin de retrouver ses marques dans une vie qui a perdu tout son sens. D autres rencontres certains personnages étant purement fictifs et d’autres non vont l’y aider. ‘ est aussi une histoire dans l’histoire, celle qui nous concerne tous actuellement, puisqu’elle donne prétexte d’une mise à plat de tous les systèmes « rouleaux compresseurs », qui nous laminent lentement mais sûrement, parfois avec notre approbation complice. Mais elle nous donne aussi des clefs pour nous inventer une vie plus à notre mesure, puisque du bien-être de tous, dépend celui de chacun. Dans ce sens, c’est un roman atypique, la réalité se mêle étroitement à la fiction. C’est au lecteur de faire la part de chacune.
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Cet ouvrage est pour l’instant en réimpression et sera disponible en mai 2025.
Informations complémentaires - Extrait
Il arrive que la rencontre avec un roman soit l’une de ces rencontres essentielles qui influent sur votre vision du monde. Quand vous aurez lu la dernière ligne, quand vous aurez épuisé la trame du récit, quand vous aurez glissé l’ouvrage à regret dans un rayonnage de votre bibliothèque, il restera un écho inextinguible au fond de vous, le cœur du roman continuera à battre dans votre cœur et vous avancerez dans la vie transformé par cette lecture.
Il est des livres qui ne se contentent pas d’un « j’aime » ou « je n’aime pas » aussi expéditif qu’un clic réflexe sur le désormais célèbre « pouce bleu », apanage d’un certain réseau social sur internet. Il est des livres qui ne s’oublient pas facilement une fois refermés, leurs dernières pages lues. Ce qu’ils contiennent s’immisce irrésistiblement dans l’esprit, le malmène, l’interpelle, le fait douter. Les Microbes de Dieu, de Mélanie Talcott est assurément de cette veine-là.
Le livre s’ouvre sur la mort et la souffrance et se referme sur la renaissance et l’apaisement. Entre ces deux points le lecteur est invité à suivre de multiples chemins, jamais droits, avec chacun son lot de révélations, qui sont comme autant de barreaux à gravir pour s’élever sur l’échelle de la connaissance du monde, miroir de la connaissance de soi.