Alzheimer… Même toi, on t’oubliera…Un ouvrage vrai, donc. Sans pathos, sans verser dans la sensationnelle souffrance. Tu as gagné Mélanie, j’ai ri, j’ai pleuré, et j’ai même eu de l’affection pour cette saloperie qui a fait hurler les pires années de ma vie. Et c’est moi qui te remercie, au nom des malades et de leur famille, “hantés par Aloïs”.