Hubert Letiers

Quand je referme un livre en me demandant comment contenir l’émotion qui m’incite à rester assis… force m’est d’accepter qu’il s’est produit en moi quelque chose d’inhabituel. Le Métronome de nos âmes est inracontable, incompressible. Il ne se lit pas, il se vit, c’est ce qui fait sa puissance. En écrivant cette critique très personnelle, je viens de comprendre pourquoi j’étais resté assis. Sûrement à cause d’une des morales qui en suinte : « vivre sans prendre le temps de s’intéresser aux autres, c’est choisir de mourir par anticipation… »

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